Voici notre sélection pas du tout objective des bandes dessinées que nous avons lues en 2021 !!!!
Le grand cru 2021
Blacksad, tome 6 alors tout tombe
Après 8 ans d’absence depuis le dernier opus, le grand retour du greffier enquêteur le plus célèbre de la bande dessinée. Une année avec un nouveau blacksad, c’est comme une année exceptionnelle dans le vin, il n’y en a pas tout le temps et l’on savoure d’autant plus, ce nouvel album, dont l’alchimie nous laisse une fois de plus épuisée, mais repus d’un grand moment.
Retrouvez la critique complète de cet opus ici.
La série fantastique 2021
Célestin et le coeur de Vendrezanne
Après 2 ans d’attente et le génial destin du trouveur, Gess nous livre un nouveau récit des contes de la Pieuvre, l’histoire ésotérique et haute en couleurs de la pègre parisienne de la seconde moitié du 19eme siècle.
Troisième opus de cette série géniale qui sent bon les mystères de Paris, les contes étranges d’Edgar Allan Poe et tout ce que Paris compte comme récité ésotérique et romantique du dix neuvième siècle. Un bonheur absolu à découvrir si vous ne connaissez pas la série
Retrouvez la critique complète de cet opus ici.
Le meilleur album retour vers le futur !
Goldorak
Fruit d’un travail de 5 ans et d’une collaboration inédite entre grands noms de la bande dessinée, le robot géant créé par Gô Nagai, il y a plus de 40 ans, est de retour sur Terre avec tout son arsenal de planitrons, achiliochocs et autres astérohaches.
Certes, nous parlons d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, mais pour tous les autres, quelle magnifique Madeleine de Proust que cet opus, magnifiquement illustré et où l’on retrouve tous les héros de la série.
Retrouvez la critique complète de cet opus ici.
Les plus beaux dessins !
Gung Ho, tome 5 et fin de la série
Cinquième et dernier opus de la saga Gung Ho, démarrée il y a
maintenant 8 ans par Thomas von Kummant et Benjamin von Eckartsberg, sympathiques auteurs bavarois.
Une saga post apocalyptique avec un final épique en forme de fort Alamo au milieu des meutes de ripers (sort de croisement entre un aigle et un grizzli).
Graphiquement, la série est tout simplement époustouflante tant l’usage de la palette graphique de Thomas von Kummant est d’une richesse inouïe à la limite du photo réalisme à certains moments.
Retrouvez la critique complète de cet opus ici.